Fooga - Palais de Fooga (forêt)

Le royaume elf d'Aengashmir est exclusivement peuplé d'elfes mise à part les drows qui sont les seuls elfs refusés car ils s'accagent la Nature par contre les demi ou semis elfes sont admis si les valeurs elfes leur ont été transmises. Aengashmir a autorisé certains peuples étrangers à pénétrer dans les Terres Elfiques si elle leur a délivré une autorisation ( à l'avance ) car elle souhaite développer le commerce entre son peuple et les peuples étrangers. Ceux qui osent braver une interdiction ou frauder sans autorisation sont immédiatement repérés et parfaitement localisés grâce à la mafie elfique maîtrisée par les tisseurs de sorts.
Une harmonie règne sur ce vaste espace, elle est dûe aux ondes sereines dégagées par les habitatns des lieux. La verdure calme les moeurs mauvais des visiteurs de races étrangères et leur permet de se sentir renouvelés et paisibles.
Pendant toute l'année, les elfes se nourissent des fruits et légumes que leur apporte la forêt. A l'aide de pailles sèches et de roseaux tressés, ils ont construit le quartir résidentiel de toute la communauté de Fooga. Il y fait bon et la vie y est agréable d'autant plus que les elfes ont tissés des voiles filtrant la lumière et regetant la chaleur qu'ils ont fixés aux postes d'observations qui sont hauts et imposants. Situés dans des lieux stratégiques se trouvent les espaces de travail qui sont collectifs, les elfes s'y rendent trois heures par jour pour pouvoir flâner le reste de la journée. Ils y cueillent la nourriture des mois à venir, construisent de nouveaux bâtiments, creusent des bassins d'eau claire, réfléchissent à des améliorations pour leur royaume et beaucoup d'autres activités se déroulent là-bas. Par contre, les commerces ne se trouvent pas au sol mais en l'air perchés sur de hauts et somptueux arbres aux couleurs chatoyantes. Toute cette organisation est incompréhensible pour les étrangers mais les elfes ne souhaitent pas en changer.



Aengashmir est une reine sage qui sait exploiter ce qui rapportera du bonheur et de la joie à son peuple. C'est elle qui a engagé son peuple sur la voix du commerce et de la connaissance des peuplades étrangères, malgré tous ses efforts, le peuple elfe reste légèrement replié sur lui-même, dans le respect et l'amour de ce qui l'entoure. Car les elfes de Fooga ne sont pas éduqués comme n'importe qui, ils apprenent à rester calme dans toutes situations, à aimer et comprendre la Nature, et à vouer du respect aux dieux elfiques sans blasphémer les dieux étrangers. La Reine Aegashmir est une Reine qui vit heureuse parmis son peuple, les elfes ne font pas de différences de classe et se traitent tous avec bonté sans distinctions entre chaque être, ainsi la Reine est traitée comme n'importe qui d'autres. Elle ne voyage pas beaucoup, mais ses tisseurs de sorts contrôlent chaque recoin de la forêt et apprennent immédiatement à Aengashmir la position des intrus. Soit ils sont en visites de commerce soit ils souhaitent la guerre, et les elfs sont prêts à se défendre.

Sitaruku était parti de chez Zonga dans l'espoir de trouvé des fruits pour calmer sa faim

*Depuis le début je n'ai même pas aperçu un seul fruit, ni même une graine , à ce train la Zonga va finir par mourir de faim*

°Désespoir°

*Je vais rentrer et lui dire que je n'en ai pas trouvé...Non!! je suis son élève et je dois tous faire pour ne pas le décevoir!! je chercherai dans toute la forêt si il le faut mais je trouverai des fruits pour mon maître et moi!*

Sitaruku poursuivit son chemin, et il entendît deux voix provenant du haut, il leva la tête et vit deux elfes surement en train de discuter en regardant le paysage

*Des elfes! ils doivent connaitres cette fôret comme leurs poches!*

°Lueur d'éspoir°

"Hey en haut!!"

Sitaruku essaya de parler en elfe, mais les mots qu'il sortai étaient incomprehensible.

*Quel honte...un elfe qui ne c'est même pas dire un seul mot, j'éspere qu'ils comprennent le dialecte des hommes...je suis étonné de savoir le parler parfaitement contrairement a ma langue natale*

Il retira un peu le haut de sa cape pour qu'on puisse mieux l'entendre

"Hey là-haut , je m'appelle Sitaruku, et je suis un elfe, bien que ceci peut paraitre étrange que je ne parle pas ce langage, mais ça serai trop long à vous raconter!! je suis envoyé par mon maître pour trouvé des fruits a manger, mais je n'en n'ai encore trouvé aucun, pourriez-vous avoir l'amabilité de me conseillé les parties de cette forêt où je pourrai en trouver des mangeable??"

*J'éspere qu'ils comprendront...*

Les deux elfes interpellés, bien qu'avec un air légerement interloqués, comprirent plus ou moins le sens de la question de l'autre étrangeté.
Les deux elfes en eux-mêmes étaient assez différents l'unde l'auètre. Le premier - c'était un homme - avait les traits enfoncés, comme taillés à coup de mrteau dans son visage, qui, immuable, restait d'un air grave, l'air fié au loin. Il disposai d'une carrure impressionante, et arborait de nombreuses cicatrices le long des bras, de ses longues oreilles en pointes et de ses jambes élancées. Il avait l'air d'un grand combattant; et son reagrd un peu voilé laisséai pensé à un quelconque vétéran d'une guerre lointaine. Il était beau, très beau même: ce n'était pas un elfe pour rien.Sa tunique était simple - une espèce de longue toge, avec une ceinbture de corde -, et il portait, en outre de sa bourse et de ses sandales, un long cimeterre, dans un fourreau noir, avec un manche ouvragé et un pommeau scupté. La lame restait cachée. Il avait l'air très anipthique, un peu dissuasif; c'était, par éviçdence, le garde du corps de la seconde personne. Il n'avait ni l'air méchant, ni spécialement bien intentionné; il avait juste l'air de faire son devoir, et l'air lointain. Il avait l'air dur, burriné, et endurci. C'était, de toute évidence, un puissant seigneur.
Si le premier était aparement un grand guerrier, la seconde, quant à elle, 'avait l'air que 'une vieille elfe habitué aux moeurs de la ville: une citdine. Cette femme, bien qu'elle avait des courbes généreuses, semblait gagnée par l'age; on pouvait aisément imaginer son savoir rien qu'aux rides affreuses qui lui barrait le front. Outre sa vieillesse appareente, elle ne semblait pas réelement très vieille non plus: rien de sénil dans son regard, un corps encore sain bien que vieux: elle n'aétait ni grosse ni maigre, et ses longs cheveux gris- brn descendait en cascadant le long de son dos. A mieux la regarder - ce qui, soit dit en passant, est tout de même assez impoli -, on avait plus l'impression que seul le visage était terriblement veilli - et derrière le sourire bienveillant de cette dame, on voyait une terrible mélancolie se dessiner au creux de ses yeux, au sein de son visage. L'air serein, elle arborait un magnifique sourir - et sa tennue, la même que celle de son compagnnon, était, elle, dépourvue de de bourse. Elle-même, bien que plus chaleureuse que l'autre qui l'accompagnait, semblait, quelque part, aussi inflexible que son camarde. C'était, de toute évidence, une noble dame.
La femme prit la paole, l'air légerement amusée. Son accent était parfait - presque trop - et son language, lourd, chargé, dur à comprendre. Cependant, ses mots radaien la musicalité de l'elfique; et son ton étai doux, aimable, agréable à l'oreille. Lorsqu'elle s'exprima, elle laissa apparaître quelque chose d'espiègle; on avait comme l'impression que cette dame jouait un jeu. tout le temps. ELs elfes de Fooga ne savent pas mentir; cependant, cette dame jouait probablement avec les mots. C'était quelque chose d'amusant, bien qu'éxaspérant et éprouvant. La seule faille qu'elle montrait dans son language, était le choix des mots: ils étaient très soutenus, comme si elle n'en conaissait pas d'autre qui allaient bien à ses paroles.

"Soyez, mon cher, assuré de l'amabilité de moi et mon compagnon. Nous vous indiquerons - en effet, car c'est la moindre des politesses - ou trouver votre nouriture, mais d'abord, vous devrez accepter notre requête, seigneur."

Sitaruku regarda les deux elfes en haut, et tout en étant adossé sur l'énorme tronc, il écouta attentivement ce que dit la personne qui parlait , une elfe apparament.

*Cette elfe parle bien étrangement à un inconnu, cela fait plaisir de voir cette entraide, espérons que ce ne soit pas une entourloupe*

Il baissa encore sa cape, recula du gigantesque arbre qui se tenait devant lui, et recula tout en évitant les racines qui dépassaient du sol, ensuite il regarda droit dans les yeux l'elfe qui venait de parler.

"Ce serait avec plaisir de vous être utile, mais il ne faudrait pas que ce soit trop long, mon maître m'attend pour le dîner. En quoi puis-je vous être utile? Je ferai de mon mieux pour accomplir votre demande , mais mon savoir est réduit et je n'ai maintenant plus aucun talent, mais, dites toujours, ceci pourrait peut-être être dans mes capacités..."

* Esperons que je ne les décoive pas, il faut que je me dépêche!! *

Sitaruku remonta sa cape, par risque que les elfes voyent sa machoire brulée, et continuait de regarder les personnes qui pourraient l'aider.

La Dame elfique le regarda, un sourire aux lèvres, l'air légerement audacieux. Elle continua son monologue, laissant à peine Sitaruku le tmps de comprenre ce qu'elle disait. elle avait du m à cacher l'accent elfique, ce qui rendait le discours tel un fleuve de mots ininterrompus, au sonorités étrangères et insondables; avec ceci s'accordai la mélodique voix de la dame. Elle semblait rapidement perdre sa notion de compréhension, laissant apparaitre quelque chose de plus pur... de plus fort. ELs mots archaïques restaient - mais la langue toute entière semblait changer.

"Mon seigneur, la chose quérie en elle-même est simple - cependant, ni moi ni mon compagon ne pourrions l'accomplir. C'est d'ailleurs l'unique raison pour laquelle nous vous quémondons cette aide. Soyez assuré, monseigneur, que je ne vais vous demander cette tâche que si, pour les quelques minutes à venir, vous puissiez vous séparer de toute obligation; et quant aux fruits..."

L'homme fit un pas, bougea un bras pour tenter d'interrompre la Dame.Il ne dit pas un mot, il n'afficha qu'un regard à la femme - un regard que Sitaruku, lui, ne pouvait surprendre. La femme sembla comprendre ce que voulait le compagnon, et, faisant un vif geste de sa main, elle dégagea son compagnon sur le côté. La poussée n'était pas forte: c'était plus un ordre fait par ses mains qu'une réelle tape. La dame ferma les yeux, l'homme, l'air méfiant, dégraffa son sabre, toujous gainé, de sa ceinture. D'une main sûre, elle atrappa l'arme par le manche. Elle ouvrit les yeux, dégaina l'arme. Du visage de la Dame, seuls restaient visibles les deux yeux - une lueur aveugle, crue et due à soutenir sortait du visage de la dame. Le reste du corps de la femme, quant à lui, se perdait sous la toge qui volait un peu en tous sens - et il semblait qu'un vent divin faisait tourbilloner l'habit de la Femme. Et seuls, durs au milieu de la blancheur du vêtement, les deux yeux de lumières semblaient être vivants - mais mauvais. Les deux taches de lumière, aussi surprenantes qu'elles fussent, n'étaient rien à coté du sabre. La lame, en elle-même, était magnifique. Le cimetiere au pomeau élboré semblait sublimé par l'ouvrage magnifique de la lame. Une lourde chaine courrait de la pointe à la garde - mais cette chaine semblait plonger dans l'arme à maintes reprises, sans qu'on put determiner où exactement. En lui-même, le sabre semblait lâcher de la Lumière. La forme de la lame était simple - sa couleur approchait de la couleur de l'or Blanc.
La femme fit un simple geste avec l'arme - et l'air se mit à hurler, une longue fissure blanche et brillante semblait se former. Fissure, comme la fissure d'un verre qui se brise sur le sol - un petit bruit de crystal qui se brise, et la lumière du sabre, des yeux et de la fissure se tut.

"Vous les trouverez ici."

Une porte. Une simple porte, là où avait était la fissure. La dame regaina l'arme, rendit le tout au guerrier. Elle ouvrit la porte, et, d'un air confiant, incita les deux autres à la rejoindre.

[désolé pour la petite taille du message >_< pas beaucoup de temps]

Sitaruku était déjà surpris de la voix mélodique de la dame ce tenant au dessus de lui, puis intrigué par l'homme se tenant a côté, il regarda la sorte de danse que faisais la Dame d'un air admiratif.

*Mais quel est donc ces techniques, d'où viennent t'ils, et pourquoi auraient ils besoin de moi, ils ont l'air tellement fort...mais bon je fais leurs faire confiance, de tout de facon a ce point là, je ne peux plus rebrousser chemin*

Sitaruku s'avança vers la porte de lumière qui illuminai les deux visages des elfes, l'homme avait un regard dérangeant.

*Je n'ai jamais vu de yeux comme ça , et puis son épée est magnifique je n'en ai as jamais vu de telle non plus, c'est impressionant!*

Il continua à avancer vers la porte sans rien dire, il ne voyai pas ce qu'il y avait a travers, il commença a ralentir, puis regarda la femme, son regard, son sourire, son expression du visage, rien qu'en jetant un coup d'oeil, Sitaruku se sentit détendu et confiant.Il entra dans la porte toujours muet.