Almée - L'auberge et taverne de Marie

Invité

Manette se fit tirée brusquement par Amandil dans un coin de la pièce puis pensa que pour une petit bourgeoise délicate; elle avait plutôt de la force quand elle voulait vraiment obtenir ce qu'elle voulait. Mais la naine ne préféra pas plus Amandil qu'avant ;sa cousine ne l'encombrerait pas moins. Puis Manette entendit sa cousine lui parler alors elle l'écouta :

*Elle m’a fait mal aux bras cet elfe avec sa petite main "délicate" de jeune fille de bonne famille *

Manette écouta sa cousine et entendit alors que celle-ci avait été aux sources tranquillement pour prendre son bain, n'avait pas d'argent et pensait que sa petite cousine adorée allait payer pour elle ses petits soins. Manette cependant resta calme parce qu'une elfe de bonne famille n'aurait jamais osé faire ça, pas faire une arnaque mais avouer à Manette ce qu'elle avait fait. Cela prouvait à Manette qu'Amandil était prête à mettre sa dignité de côté pour faire équipe avec sa cousine et pour lui prouver sa confiance. Manette parla donc à Amandil calmement.

"Déjà Amandil, j'ai décidé que nous irions aux bains ; donc nous irons quoi qu'il arrive. Ensuite il ne faut pas croire que je vais payer les petits soins de Madame, je ne suis pas ta banque mais ta cousine. Et pour finir quand on commence une arnaque on assume, on va jusqu’au bout, on ne la fait pas à moitié d'accord."

Manette attendit une réaction de la part de sa cousine avant de continuer la conversation.

Yris : Evite les répétitions ( "ma cousine" ), la ponctuation te permettrait de donner un sens plus clair à tes phrases et tu fais encore quelques légères fautes d'accord mais c'est bien que tu utilises Microsoft Word !

Amandil baissa les yeux comme une gamine prise en faute. Elle sentait bien que malgré ses efforts jamais Manette ne l'apprécierait vraiment, et ne la considérerait comme une membre de sa famille. Elle, la grande et fière elfe se sentait diminuée, méchante et mesquine d'avoir écouté ses parents déblatérer sur la méchanceté des nains et leur soi disante puanteur. Manette n'avait rien de tout celà, elle était même plutôt jolie et sentait bon. Amandil sortit de sa rêverie et se rendit compte qu'elle n'avait toujours pas répondu à sa cousine. Elle réfléchissait à un moyen de se sortir de cette mauvaise arnaque sans causer de problème à Manette et sans la faire payer. Amandil devait assumer les conséquences de ses actes et cesser de se reposer sur les gens comme elle l'avait toujours fait. C'est pourquoi elle proposa une solution à sa cousine :

"Mais, tu sais lorsque je suis allée aux bains et bien l'employé au lieu de me donner un peignoir comme aux autres personnes, il m'a laissée me balader nue. Je peux donc lui dire que je fais un scandale si jamais il m'oblige à payer mon dernier bain. Je suppose qu'une jeune femme qui crie au scandale dans ses bains ne l'enchantera pas. Qu'en penses-tu ?"

Amandil était étonnée par ce qu'elle venait de proposer, elle n'avait jamais eu d'idées illégales pour ne pas payer, à Lobélia elle était même connnue pour sa générosité. Mais après tout c'était sa nouvelle vie et si elle devait s'en remettre à jeune cousine pour survivre elle le ferait. On pouvait l'accuser de beaucoup de choses mais pas de ne pas faire face à ses responsabilités ou d'être lâche, elle releva donc la tête et mit de la résolution dans ses yeux.

Yris : Pense aux accords et évite les répétitions comme "ma cousine"... etc

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Golrik était toujours aussi captivé par la discussion des deux femmes, il y en avait une qui lui paraissait particulièrement belle. Elle avait de longs cheveux rouges et chatoyânts qui lui tombaient sur ses épaules légèrement dénudées. Golrik était un homme qui obtenait toutes les femmes qu'il voulait, seulement celle-là n'était pas une petite aventure comme toutes ces autres, elle était si séduisante et si humaine dans sa façon de s'exprimer. Il entendit parler de dettes et qu'elle avait été maltraitée aux bains. Golrik ne tint pas une seule seconde, il se leva d'une démarche assurée, car il était beau : ses cheveux rouges mi-longs contrastaient avec sa peau halée. Son corps était athlétique, son visage parfait et son charme opérait sur toutes les femmes de la Taverne. Il était maintenant debout et marchait jusqu'à la table des deux jeunes filles. Il désigna un tabouret de sa main musclée et dit d'une voix douce et séduisante :

" Bonjour mesdemoiselles. Puis-je m'asseoir en votre compagnie ? "

*Allez jolie demoiselle, laisse-moi m'asseoir avec toi, chérie. *

Il observait particulièrement Amandil de la tête aux pieds, ses formes étaient généreuses ; son corps parfait et bien fait, son visage était encore plus harmonieux et le charme qu'elle dégageait rendait Golrik fou d'amour, lui qui était habituellement un simple coureur de jupons. Il avait en tête de l'aider à régler ses problèmes et d'aller pourfendre l'horrible homme qui avait fait du mal à cette enfant. Cette magnifique elfe... Golrik était debout la contemplant sans fin, mais il ne paraissait pas betâ comme l'eut paru un autre, il était lui aussi un de ces êtres qui coupent le souffle à la vue de leur beauté. Il ne possédait pas la vulgarité d'un coureur de jupons car il était raffiné dans ses gestes et ses manières, c'était un séducteur de femmes mais pas un vulgaire nymphomane.

Nolofinwë arriva devant l'auberge et attacha son cheval blanc Férnor à un anneau prévu à cet effet. Elle entra dans l'auberge et vit tout le monde qui s'y trouvait. De toutes les tavernes qu'elle avait visitées, celle-ci était de loin la plus accueillante, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid, l'ambiance semblait chaleureuse, les personnes qui se trouvaient là bavardaient...
Une sorte de nostalgie qui l'envahit, à la vue de tous ces gens qui étaient probablement amis pour la plupart. Elle essaya de se montrer la plus neutre possible et de se fondre dans le décor.

*S'il apprennent qui je suis, ils ne voudront pas de ma compagnie...*

Elle regarda tout autour d'elle et décida de se mettre sur une table tout au fond de sorte qu'elle puisse voir tout le monde et entendre quelques conversations, afin d'avoir le plus de renseignements possibles sur le village.

*Quoi que je fasse ils se méfieront de moi un jour ou l'autre...*

Elle balaya la taverne des yeux à la recherche d'une serveuse, pour quelques informations sur le Kawanda, peut-être saurait-elle quelque chose. Elle remarqua deux filles dans un coin qui ne semblaient pas tellement s'apprécier.

Yris mit sa seule robe de chambre, se laissa tomber sur son lit puis sombra dans un long sommeil, après cette longue journée une bonne nuit de sommeil lui ferait du bien. Elle fit un long rêve assez étrange d'ailleurs : elle était dans une autre ville que Lus, elle se trouvait dans un beau jardin avec un temps ensoleillé, où les oiseaux chantaient, en compagnie de sa famille qui à l'origine était une famille d'assassins mais là ses parents semblaient aimables et gentils, ils parlaient, et riaient comme si tout allait bien ! Ce rêve était irrationnel. Elle se réveilla brusquement, elle ne voulait croire à cette utopie, elle se demandait pourquoi ce rêve ne venait que maintenant, la jeune fille ne voulait pas que ce rêve la trouble dans son travail. Yris se leva de son lit et regarda à la fenêtre, il faisait jour ! Elle alla dans une salle d'eau qui était annexe à sa chambre, elle se débarbouilla le visage, se rinça la bouche et essayait de coiffer ses long cheveux ! Elle mit son habit de travail : elle enfila sa robe puis son tablier qui d'ailleurs était un peu sale. Yris était prête, elle descendit les escaliers et arriva en plein coeur de l'auberge. Yris essayait de prendre ses repères, une longue journée l'attandait, elle marchait le long des tables et vit un jeune fille qu'elle n'avait jamais vue, ici, c'était une elfe qui avait l'air d'un vampire par sa peau extêment blanche. Yris se dit alors pourquoi pas lui demander sa commande car il n'y avait plus beaucoup de personne en bas hormis les deux cousines qui n'arrêtaient pas de se disputer. Elle alla vers la jeune fille et l'aborda, une longue journée l'attendait, et il fallait qu'elle soit au plus haut de sa forme pour bien travailler, il fallait qu'elle rattrape sa journée d' hier, elle avait hâte de retrouver Perle et Rubi.

" Bonjour mademoiselle, qu'est-ce que vous allez commander pour votre repas vous avez plusieur choix entre les boisson et les plats : plusieurs jus sont à votre disposition ou de l'alcool si vous voulez et comme c'est la matin vous pouvez prendre le petit-déjeuné de la maison :oeuf broullé, pain chaud et quelques crêpes. Cela dependra de vos moyens biensur. Au fait, vous êtes nouvelles dans Lus ? Car je ne vous ai jamais vu ici en tout cas vous êtes tombée sur une bonne auberge car la propiétaire est très gentille et compréhensive ! "

Yris était satifaite d'avoir pu parler avec cette nouvelle, qui à l'air fort sympatique. Mais elle devait allait voir Manette et cette peste d'Amandil qui n'arrêter pas de manipuler et de traité sa cousine comme son objet.

* Elle à l'air vraiment aimable, même si elle ressemble un petit peu a un vampire ! *

° Joie + Nervosité + Confusion°*

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Rubi s'était endormie rapidement après être rentrée de chez Ophéline Dorée. Elle avait d'abord couché la douce et petite Perle dans sa chambre mais qui avait fini par la rejoindre dans son sommeil. L'enfant s'était blottie sur la couchette contre sa mère, profitant de la chaleur de son corps qui était toujours agréable car l'hiver était maintenant entamé. Elle avait pris dans sa minuscule main un morceau de l'étoffe de la chemise de nuit de sa mère, et avait mis dans sa bouche le pouce de cette même main. Elle était bien tout contre sa mère endormie, au chaud, rassurée et sûre de ne pas faire de mauvais rêves. Perle, qui n'était encore qu'un bébé, s'endormit finalement. La nuit s'était déroulée dans cette douce harmonie, l'enfant dormant tout contre sa mère.

Rubi ouvrit doucement les yeux à l'aube. Elle sentit immédiatement le petit corps de Perle contre sa hanche, elle comprit aussitôt pourquoi cette nuit avait été aussi paisible, la seule présence de sa fille la calmait. Elle n'avait pas fait ce cauchemar dans lequel elle se réveillait et trouvait Idichy face à elle. Elle passa sa main sur le petit dos de Perle et le frictionna doucement pour la réchauffer, elle se glissa doucement contre le sol pour ne pas réveiller Perle. Allongée sur le sol froid, Rubi se releva avec une agilité féline, il ne fallait pas oublier qu'elle était danseuse, même si elle n'avait pas participé à des fêtes depuis une semaine déjà. Pourtant il ne fallait pas qu'elle oublie pourquoi Marie l'hébergeait : c'était pour qu'elle travaille. Elle irait sûrement rendre visite à des musiciens pour organiser prochainement une fête dans la Taverne. Ces fêtes toujours gaies et joyeuses avait entretenu une très bonne notoriété à Marie et sa Taverne, ainsi qu'une très bonne paye à Rubi qui était la seule organisatrice de toutes ces réjouissances. Debout pieds nus sur le sol humide et très frais, elle s'empressa d'enfiler ses chaussons de toile qui ne faisaient pas un bruit lorsqu'elle posait le pied. Elle observait avec tendresse son bébé qui avait réussi sûrement à quatre-pattes à se glisser jusqu'à la couchette maternelle. Rubi s'agenouilla ; un genou sur la couchette, l'autre au sol. Elle tira les couvertures sur Perle, qu'elle doubla habilement car Perle n'avait pas besoin de toute la superficie des couvertures étant donné son petit corps mais certainement de toute la chaleur possible ce que lui procuraient les couvertures lorsqu'elles étaient pliées. Rubi satisfaite de voir Perle dormir tranquillement, se releva avec la même agilité que précédement.

Elle referma la porte de sa chambrette afin que Marie ne surprenne pas le sommeil de sa petite et se dirigea vers une salle d'eau, avec sa tenue du jour qu'elle avait trouvé au marché à un prix très convenable mais qui était tout à fait magnifique. Elle prit une petite bassine, qu'elle remplit d'eau et qu'elle fit chauffer pour qu'elle soit tiède. Avec délice, elle s'en aspergea le visage, retirant ainsi les saletés qu'elle avait accumulées la veille sur sa peau. À présent, bien réveillée, elle retira sa tenue de nuit. Nue, elle chercha à l'endroit où elle avait posé sa tenue qu'elle trouva enfin et qu'elle remettit. Sa tenue était moulante et laissait apparaître son corps bien-fait et sa taille fine, mais Rubi ne souciait pas tant de son corps mais plutôt de sa santé. Car la fatigue l'avait assaillie pendant plusieurs jours car ses nuits étaient agitées, mais celle-ci avait été réparatrice et Rubi était très en forme.

Elle retourna à pas de velours dans sa chambre pour regarder l'heure à sa pendule d'eau, une magnifique pendule très récente que lui avait offerte Marie. Il était tôt et Rubi décida qu'elle pouvait sans crainte descendre prendre son premier repas dans la grande salle. Une petite habitude qui ne dérangeait pas trop Marie : Rubi allait chaque matin s'asseoir à la table d'un des rares clients présents et déjeunaît avec eux en toute simplicité s'ils lui paraissaient avenants et sympathiques. Autrement elle allait tranquillement manger dans la cuisine à l'abris des regards d'où elle rapportait un déjeûner délicieusement cuisinée pour Perle.

Le plus discrètement possible, ayant remit ses sabots pour ne pas paraître dévêtue devant des clients, elle observa la Grande Salle. Yris était déjà levée ! Rubi était très contente car elle prendrait avec plaisir son premier repas de la journée avec la jeune fille qui lui avait témoigné une amitié si sincère et si nouvelle que Rubi avait fait de même. Elle aperçu avec stupeur que certaines clientes comme les deux elfes en tenues habillées étaient restées toute la nuit ! Elles n'avaient pas l'air très fatiguées... surprenant pour des jeunes filles qui se voulaient aussi précieuse. Mais Rubi s'installa quand même à une table proche de celle où Yris était en train de travailler. Elle finit par s'apercevoir qu'une jeune fille elfe, d'une beauté si différente de celle qu'on voyait chez les elfes, était assise. Alors Rubi d'un pas tranquille se posta devant elle après qu'Yris ait fini de lui parler et lui dit gentiment :

" Bonjour, mademoiselle. Je me nomme Rubi et je trouve stupide que nous mangions toutes les deux seules au lieu de manger ensemble, quand pensez-vous ? "

Elle sourit d'un sourire plutôt franc, cette simple manoeuvre était en fait destinée à Yris, elle voulait lui montrer qu'elle savait être professionnelle et ne pas provoquer les clients comme elle avait l'habitude de provoquer Yris. Elle regarda Yris deux secondes, un regard complice, qui ne signifiait rien pour les autres mais qui en réalité l'invitait à manger avec elle et la jeune elfe. Elle finit par lui adresser quelques mots d'un ton aimable sans la regarder, en fixant toujours la jeune elfe :

" Bonjour à toi aussi Yris. Elle lui sourit agréablement sans la regarder. Est-ce que tu pourras me servir un morceau de charcuterie que l'on a reçue hier, s'il te plaît ? Et avec du lait aussi si tu peux. "

Elle tutoyait Yris comme si elle la connaissait depuis toujours, à croire que les évènements de la veille les avaient rapprochées toutes les deux. De l'extérieur, on comprenait que les jeunes filles travaillaient toutes les deux pour Marie et semblaient s'entendre à merveille. Mais Rubi avait prononcé sa requête avec un ton légèrement ironique et provocateur : sa façon de dire à Yris qu'elle était heureuse de la voir ici.

Amandil se désinterressa un instant de sa cousine pour observer attentivement le jeune homme qui avait l'air fasciné par ses formes généreuses et ses longs cheveux roux, elle se sentait flattée par le regard de quelqun du sexe opposé surtout flatteur. L'homme était plutôt beau c'est certain mais il dégageait quelque chose de particulier, et sa belle peau halée provoquait à Amandil un sentiment qu'elle n'avait jamais ressenti. Après toutes les aventures qu'elle venait de vivre elle aurait voulu se serrer dans ses bras, qu'on lui fasse sentir qu'on l'aimait. Elle avait besoin de ressentir de la tendresse elle était sur les nerfs à cause de la dureté de Manette qui lui faisait sentir en permanence qu'elle n'était pas digne d'être avec elle. C'est pourquoi elle s'exclama sans rédléchir :

"Mais bien sur que tu peux t'asseoir avec nous, pas vrai Manette ?"

* Oh, oui assieds toi avec nous et à côté de moi si possible*

Amandil commença à jouer avec ses cheveux, les faisait tourner entre ses doigts en souriant à l'inconnu qu'elle trouvait de plus en plus charmant

*Il est trop beauuu, et il a l'air si doux, si compréhensif pas comme Manette*

C'est alors qu'elle se rendit que ses mauvaises habitudes reprenaient elle critiquait Manette dès qu'elle voyait quelqun d'autre qui lui parlait gentiment. Elle s'excusa donc en pensée auprès de Manette et sourit également à la naine d'un air gentil

Golrik était captivé par le regard envouteur de la jeune elfe. Elle était absolument magnifique. Elle le regardait avec un regard si doux et si attiré, il était certain qu'il lui plaisait. Il sourit d'un sourire enjoleur et charmant avant de prendre le tabouret à côté d'Amandil et de s'asseoir. Au passage, oubliant toutes convenances il frôla la cuisse d'Amandil et un frisson le parcourut, ce contact infime avait été délicieux. Il s'assit très proche d'elle de façon à ce que son genoux touche le sien.

" C'est vraiment gentil de m'avoir accepté à votre table. Vous semblez avoir des problèmes mademoiselle... "

Il la regardait intensément n'arrivant pas même à terminer sa phrase, il se reprit subitement et avoua toujours conscient de son charme :

" Voyez comme votre beauté me trouble, je ne finis plus mes phrases. "

Sa voix était douce et donnait l'impression qu'une mélodie du bonheur était en train de se jouer. Il accordait de temps en temps un regard à Manette, aimable mais réprobateur, il l'avait vue disputer son ange.

" Je n'ai pu m'empêcher de tourner la tête pour chercher la détentrice d'une aussi douce voix et je vous ai aperçue en pleine conversation. C'est impensable mademoiselle, qu'un homme est pu vous traiter ainsi. Venez avec moi, mademoiselle, je vous défendrais sur ma vie. "

Il sentait une certaine alchimie entre eux et se sentait transi, comme s'il avait de la fièvre. D'un geste calme et délicat bien qu'entraînant et attirant, il prit le poignet d'Amandil et la conduit en douceur devant la sortie de l'auberge, d'une voix irrésistible il s'adressa à elle puis à Manette :

" Allez dites-moi votre envoûtant nom... et suivez-moi jusqu'aux bains. "

" Mademoiselle dit-il à Manette, reposez-vous ici, je payerai votre chambre mais laissez-moi aller défendre votre cousine. "

* J'espère que cette jeune fille aura le bon goût de rester à l'auberge et de me laisser un moment d'intimité avec... cette déesse. *

Il ne se lassait pas de contempler Amandil, rêvant de serrer son corps frêle et bien-fait dans ses bras, de l'y tenir au chaud avec amour. Envie, qu'elle carresse ses cheveux doucement et qu'elle l'embrasse. Seulement ce genre de chose ne se passait jamais en publique c'était une question de pudeur, elle n'était pas une femme facile et pour rien au monde Golrik n'aurait voulu tâcher la réputation de son ange.

Amandil se sentait si bien en présence de l'homme, elle aurait voulu être seule avec lui. Tout à coup elle sentit un léger frôlement au niveau de la cuisse, et vit qu'il l'avait intentionnellement ou non touchée dans un mouvement pour s'asseoir près d'elle. Ses joues rosirent légèrement, elle aurait voulu parler à Manette pour qu'elle ne se sente pas exclue, mais juste avant qu'elle ne puisse lui parler l'homme la complimenta, elle, Amandil, sur sa beauté et elle ne sut plus que dire, c'est alors que l'homme se leva brusquement, prit sa main pour qu'elle se lève et fit comprendre par sous entendus à la naine qu'il souhaitait aller au bain juste avec Amandil. L'elfe se sentait de plus en plus gênée pour sa cousine qui n'avait pas l'air très contente et comme l'homme l'entrainait elle s'exclama en direction de Manette :

" Eh, bien tu vois Manette grâce à ce gantil jeune homme nous allons pouvoir éviter que tu payes quoi que ce soit aux bains, tu pourras y aller juste après nous et décréter que tu ne me connais absolument et que je suis une afabulatrice. Tu n'auras dons aucun ennui avec les gens des bains."

Amandil se sentait ridicule, elle avait dit ça comme si c'était une excuse valable pour la lacher de cette façon au profit d'un parfait inconnu mais elle le trouvait beau et son coeur lui battait à un rythme soutenu lorsqu'elle le regardait. La naine n'avait toujours pas ouvert la bouche depuis l'arrivée de l'homme et celà inquiétait Amandil.

Golrik regarda Manette en lui souriant gentiment, il ne voulait en rien la vexer ou la blesser car elle avait l'air charmante même si elle avait grondé Amandil comme une enfant. Mais s'il trouvait cet acte indigne de la personne d'Amandil, il l'excusait en espérant qu'elle comprenne la folie qui l'animait en présence d'Amandil. Il se tourna à nouveau vers Amandil et plongea ses yeux devenus différents droit dans lles siens en soupirant d'aise.

* Quelle beauté... *

Heureusement pour Golrik, Amandil semblait être très réceptive à ses attentions et elle aussi prise d'une folle passion. Lorsque Golrik regardait Amandil, il avait l'impression de la connaître et de l'avoir déjà vue quelque part. Il s'approcha toujours de sa démarche nonchalante bien qu'il soit tout de même très hésitant : Manette ne l'intimidait pas malgré son silence mais il avait peur qu'elle soit blessée. Il porta sa main fine d'elfe dans la poche de son vêtement qui le désignait comme une personne de famille aisée. Il en sortit une petite bourse de 500 pièces d'or qu'il tendit à Manette avec la même grâce qui rythmait chacun de ses mouvements. Du même ton grave, il lui dit :

" Tiens, j'espère que vous aurez assez pour vous payer une très bonne chambre et un lit de bonne qualité. Vous pourrez normalement payer votre dîner... enfin, patientez. "

Incertain de la suffisance de l'argent qu'il avait donnée à Manette il ressortit 500 pièces d'or qu'il ajoutât à la forte somme. Il ajouta maintenant plus sûr de lui :

" Voilà 500 pièces d'or de plus pour être sûr que vous ne manquiez de rien, mon amie. Ne prenez pas cet argent comme un geste offensant mais plutôt comme un présent de mon amitié naissante pour vous. Sur ce je vous salue car je vais défendre votre honneur et celui de votre charmante compagne. "

Golrik recula de quelques pas en guettant la réaction de Manette mais finalement la passion le poussa à rejoindre immédiatement la femme qui ne lui avait toujours pas communiqué son nom. Il prit Amandil par le poignet délicatement n'osant par l'attraper par la taille, et l'amena dehors en respectant cette femme mais en conservant sa virilité. Une fois dehors il s'apprêtait à lui parler, une main sur sa belle épée, mais poussé par une force jusqu'alors inconnue, il prit soudainement Amandil dans ses bras forts. Il sentait les cheveux d'Amandil sur la peau de son cou car il était juste un peu plus grand qu'elle : il faisait 1m90. Dans cette position il pouvait sentir le parfum fruité de la peau d'Amandil ainsi que ses hanches contre les siennes et sa poitrine généreuse et tendre contre la sienne. Il aurait volontier donné un baiser à la jeune elfe mais un certain respect d'elle l'en empêchait et il se promit de le faire lorsqu'ils seraient dans un endroit plus intime. Son impatience l'emporta et il se dirigea en entraînant doucement Amandil dans un recoin sombre et désert. Il la reprit à nouveau dans ses bras avec une passion décuplée, n'osant toujours pas l'embrasser de peur de l'offusquer car il ne savait pas même si lorsqu'il l'avait prise dans ses bras virils elle ne s'était pas sentie offensée.

" Je... "

* Je devais lui demander son nom encore une fois, mais les autres se sont toujours empressées de me le donner. Mais elle ne souhaite pas me le communiquer, je ne dois pas lui plaire. *

° Inquiétude + Doutes °

Il la tenait toujours serrée contre lui, bien que le doute l'envahisse, il allait faire quelque chose qu'il n'avait jusque là jamais fait : se présenter avant sa conquête.

" Je m'appelle Golrik... Et vous, comment vous appellez vous merveilleuse créature ? "

Il prononça ses mots dans un souffle sans relâcher son étreinte.

Nolofinwë vit d'abord une jeune elfe aux cheveux roux arriver et lui parler, elle se sentait légèrement mal à l'aise, car elle sentait sur elle le regard d'une autre jeune fille, elle fixa finalement Yris dans les yeux sans ciller, puis, la serveuse finit de parler, alors Nolofinwë s'apprêta à répondre quand tout à coup la jeune fille dont elle avait perçu le regard arriva à côté d'Yris et lui parla à son tour. C'était une jeune elfe qui avait les cheveux noirs, et assez longs. Le malaise de l'elfe-vampire augmenta encore légèrement ; elle avait perdu l'habitude que les gens s'intéressent à elle, cela faisait au moins cinquante ans qu'elle ne s'était pas retrouvée en la compagnie de si charmantes personnes.

*Elles ont l'air vraiment gentilles, mais il y a quelque chose entre elles, je crois... Que je n'arrive pas à cerner*

Elle s'adressa maladroitement aux deux elfes, tâchant de contrôler sa partie sombre et de s'appliquer pour ne pas faire d'erreurs en dévoilant son identité.

"Et bien... Bonjour, je m'appelle Nolofinwë et en réalité je n'ai pas d'argent, il me serait donc impossible de manger avec vous, Rubi, mais j'aurais besoin, si vous êtes en mesure de me renseigner, de quelques informations à propos de la légende d'un certain Kawanda... J'ai entendu quelqu'un en parler et j'aurais aimé savoir si cette légende était vraie..."

*J'espère ne pas les effrayer... Si elles savaient la raison pour laquelle je recherche cet objet, elles ne voudraient sûrement pas me parler, elles auraient peur...*

"Et... Si vous aviez des indications sur le lieu où cet objet se trouverait... J'ai demandé il y a peu de temps, dans une ville proche d'ici où je pourrais aller pour en savoir plus et ils m'ont indiqué cette ville..."

*Aïe, maintenant qu'elles me parlent de manger je commence à avoir faim... Mais je ne dirais rien, je ne dois pas paraître impolie...*

"Et j'aurais également voulu savoir si quelqu'un aurait besoin de mes services, il me faut un peu d'argent et si vous connaissez quelqu'un qui aurait besoin de main d'oeuvre, je suis disponible."

Amandil était très troublée en regardant dans les yeux le très beau jeune homme, il soupirait de bonheur comme si lui aussi ressentait l'instant de la même façon. Elle aurait voulu se lover entre ses bras puissants pour qu'il lui murmure à l'oreilles de tendres mots, la rassure et lui promette de rester pour toujours à ses côtés. Amandil n'avait jamais ressenti ça, et pensa que c'était ce sentiment que dans les livres on appelait Amour. Mais tout à coup il se tourna vers Manette et se mit à lui parler, dans un sens elle était soulagée qu'il intègre sa cousine à la conversation et jalouse qu'il la délaisse plus de deux minutes. Lorsqu'elle le vit donner de l'argent à la naine, elle se demanda si sa cousine n'allait pas lui jeter l'argent à la figure mais elle vit avec un certain soulagement que Manette continuait à se draper dans son mutisme. Lorsqu'il la prit par le poignet pour la faire sortir de l'auberge, elle le suivit immédiatemment car elle avait hate de se retrouver seule avec lui afin de faire "connaissance". Au moment où il la prit dans ses bras, elle se rapprocha au plus proche de lui afin que ses longs cheveux rouges lui balaye le cou. Elle vit qu'il voulu lui parler, mais qu'il hésitait et elle se rendit compte qu elle se trouvait dans les bras d'un homme qu'elle ne connaisssait pas. Quand il l'entraîna dans un coin sombre et obscur, Amandil se demanda s'il elle n'allait pas perdre la raison. Mais Golrik bien qu'il ne désserra pas son étreinte devait se sentir un peu coupable car il finit par se présenter et lui redemanda son prénom. Elle le sentait moins sur de lui qu'il ya quelques minutes et celà lui plaisait beaucoup mais elle finit par lui parler tout de même:

"Je m'appelle Amandil...et je.."

Amandil se sentit soudain submergé par tous ses nouveaux sentiments, elle aurait voulu l'embrasser, mais elle avait peur d'en prendre l'initiative, qu'il la rejette.

*Qu'est ce qu'il est beau, je voudrais tellement...*

°Folle d'amour°

Soudain, elle n'y tint plus et elle posa très doucement ses lèvres sur celles de Golrik, puis les pressa avec un peu plus de force avec un plaisir renouvelé, elle intoduisit sa langue, mais elle la retira très vite en rougissant et détourna la tête car elle se sentait honteuse. Il allait la prendre pour une fille du port sans éducation et sans moeurs.

"Je suis désolée, je...je..ne sais pas ce qui m'a prit, c'est..."

°honte°

Golrik sentit avec plaisir qu'Amandil était une fille entreprenante et qu'en plus elle éprouvait le même amour qui le prenait aux tripes. Elle était proche de lui et il ne pouvait s'empêcher de temps à autre de loucher dans son corsage qui renformait bien des trésors. Il sentit la peau du visage de la belle le toucher quand elle lui répondit tendrement qu'elle s'appelait Amandil. Il savoura son prénom comme il l'eût fait d'un met délicat, il aurait voulu le répéter à l'infini "Amandil... Amandil..." mais la belle l'empêcha de parler car elle posa doucement ses lèvres sur les siennes. Le désir de Golrik était tel un volcan en éruption, ce fut le comble lorsqu'il sentit la langue de sa douce et bien aimée rentrer en contact avec ses lèvres qu'il entrouvrit délicatement pour la laisser pénétrer dans sa bouche... Mais il n'eût pas le temps de goûter longtemps à ce baiser car Amandil se retira prestement, mignonne et rougissante. Elle s'excusa en balbutiant, il se demanda pourquoi s'excuser de lui avoir donner tant de plaisir. Il voulut la rassurer et il prit son visage fin entre ses douces et belles mains. Il n'y avait pas de mots pour décrire le sentiment de plénitude qui l'envahissait, qui l'embrasait. À ce stade son cerveau ne répondait plus, seul son coeur et son corps se chargaient de transmettre des messages. Il ne savait pas exactement si ce qu'il faisait n'était pas offensant pour la jeune fille mais elle n'avait pas eu l'air si horrifiée que ça. Son visage était à quelques centimètres du sien, une alchimie profonde opérait entre eux deux. Il approcha doucement sa bouche de celle d'Amandil et l'embrassa avec la même volupté dont avait fait preuve celle-ci mais loin de s'arrêter au contraire. Ses mains étaient descendus sur les hanches de l'elfe qu'il caressait avec douceur et amour, remontant de temps à autre vers sa poitrine bien que poliement iil n'osait que la regarder. Il ne faisait pas attention, et ne pouvait pas savoir si des gens les observaient, mais le plaisir et le bonheur était tels qu'il ne pouvait s'en préoccuper. Une de ses mains vint caresser la joue de sa partenaire avec une tendresse digne d'un amoureux.

Yris était contente de retrouver Rubi, qui d' ailleurs avait l'air d'être en bonne forme, elle était souriante et de bonne humeur ce qui pouvait être étonnant après la journée qu' elles avaient passé. Yris se demandait ce qui allait se passer à l'auberge et si Marie allait venir d' ici tôt. Pendant que Rubi parlait elle écoutait en même temps la discussion des deux elfes avec un charmant jeune homme, pour la première fois Amandil n'était pas désagréable, elle était plutôt sous le charme de ce bel homme. Yris voyait que Manette était toute seule à sa table et pensait qu'elle pourrait lui parler si jamais elle se sentait seule. Mais d'abord elle devait allé servir Rubi, elle trouvait que c'était un petit peu gonflé de sa part mais de bon coeur elle accepta.

" Bonjour Rubi, je te rapporterai tout ça dans quelques instants, ça me fait beaucoup [ très ] plaisir de te revoir ! Mais au fait Perle dort toujours, j'espère qu'elle se reveillera pas trop tard ! "

* Non mais franchement, elle pourait pas aller prendre elle même ce qu'elle veut ! Je le fait quand même ! Il faut que j'aille parler à Manette elle m'inquiète vraiment.*

Yris se sentait bien aujourd'hui, une nouvelle journée commençait et elle ne se permettrai pas d'erreur, ce serait trop. Elle regarda encore un fois dans la direction de Manette qui semblait fatiguée et enervée. Yris voulait lui parler et trouvait qu' Amandil était gonflée de partir avec un autre.

* Il fait que j'arrête de mediter sur les autres ! Ce ne sont pas mes affaires mais il faut tout de même pas abuser dans la vie ! *

° Inquiète et Heureuse°

Yris monta dans la cuisine pour aller chercher le lait et la charcuterie de Rubi. Elle fouilla dans les armoires et tomba sur ce qu'elle cherchait, elle prit au passage une pomme: elle avait très faim et ne voulait pas se sentir fatiguée dès maintenant. Yris descendit après avoir prit tous ce qu'elle devait. Elle se dirigea vers Rubi et déposa sur sa table ce qu' elle avait dans les mains.

" Voilà ! Et appelle moi si tu as besoin de moi , je serai à la table de cette jeune naine qui à l'air énervée ! ", dit-elle entre deux bouchées de pomme.

Elle allait dans la direction de Manette et s'arrêta à sa table. Elle ne s'avait comment s'y prendre mais elle s'en fichait. Il fallait qu'elle sache ce qu'il se passait.

" Bonjour, est-ce que tout va bien ? "

Elle attendait que celle -ci réagissent, elle avait l'air tellement fatiguée, cela se comprenait puisqu'elle n'avait pas dormi de la nuit, Manette avait toujours ses habits de la veille.

Amandil: Je t'ai corrigé ton message orthographe et fautes de frappes, et tu ne dois pas appeler Manette par son prénom car tu ne la connais pas, de plus le début de ton message manque de cohérence. clin d'oeil

Amandil était vraiment gênée d'avoir perdue à ce point à la tête
face à un homme, elle, la magnifique elfe admirée de tous avait cédée à ...l'Amour. Godrik avaiot l'air plutôt amusée par la honte de la jeune fille. Tout à coup il redevint subitement sérieux et prit en coupe entre ses mains le visage de l'elfe. Elle se sentait tellement bien et elle aurait voulu l'embrasser à nouveau mais elle eut cette fois la raison d'attendre qu'il en prit l'initiative. Golrik l'embrassa à son tour mais sans se retirer il continua et fit descendre sur ses mains sur ses hanches et Amandil était maintenant de mieux en mieux. Elle se rendit soudain compte que Golrik couvait des yeux sa poitrine sans oser faire un mouvement déplacé. Elle sourit en elle même et elle sentit soudain la main de golriik doucement sur son visage. Elle en profita pour se dégager avec tendresse en lui prenant la main et en embrassa doucement ses doigts. Mais soudain, elle se rappella de Manette, c'est pourquoi elle dit à Golrik:

"Je pense tout de même que nous devrions aller aux bains, tu sais si je suis ici c'est pour une raison bien précise parce que.."

Elle n'osait pas finir sa phrase, comment avouer à un homme dont elle était amoureuse qu'elle avait failli se marier à un vieux..cochon tout simplement. Elle retomlba dans les bras de Golrik en pleurant, elle n'était pas prête à parler.

Nolofinwë regardait les deux jeunes filles dans l'attente d'une réponse à ses questions... Malheureusement aucune ne fit un geste ni ne dit un mot. Elle vit Yris partir et se sentit tout à coup plutôt gênée... Elle pensa alors qu'elle-même les mettait mal à l'aise avec cette histoire de Kawanda et se sentit alors gênée....
Elle se détendit dans sa chaise en soupirant et regarda autour d'elle : elle vit dans un coin une jeune elfe avec un homme qui semblaient très occupés.

*Et bien, je suppose qu'il vaut mieux ne pas les déranger... Ils en ont de la chance de s'être trouvés... Moi je ferais mieux de trouver un travail...*

Elle regarda à nouveau la jeune fille droit dans les yeux, hésita un instant, s'avança et dit :

"S'il vous plaît, j'ai réellement besoin d'un travail, je n'ai pas du tout d'argent, alors si vous connaissez quelqu'un qui pourrait avoir besoin de moi... Ce serait super... Pour le Kawanda... Laissez tomber... Je n'aurais jamais du poser la question... Là mon problème, c'est l'argent..."

Malgré les courts temps de pause qui séparaient ses phrases, Nolofinwë parlait d'une voix calme, posée et assurée... C'est cette assurande qui lui donnait un certain prestige, voire même un certain charisme...

*Super! Maintenant je vais donner l'impression d'être faible et de supplier... Je dois me reprendre...*

Elle continuait de fixer Rubi et Yris d'un air impassible...

"Sinon je trouverais bien toute seule à un endroit, mais... Ce sera plus long... Beaucoup plus long... De nombreuses personnes au cours de mon pélerinage, entre guillemets m'avaient recommandé cette ville, car, disaient-ils, on y trouvait facilement du travail..."

*Aïe... Pourquoi est-ce que l'on me renseigne toujours mal?...*

Ton message n'est pas assez long, essaye de plus le developper . Yris ne peut pas te répondre car elle est partir voir Manette, on ecrit en gras lorsqu'il s'agit d'un animal et non d'une créature. J'espere que ça t'aidera.

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